mardi 12 mai 2009

En finir avec le conflit Israëlo-Palestinien.

Cela n'a que trop duré, il faut que ça cesse. Des civils sont morts par centaines de milliers depuis le début de cette guerre absurde qui dure, comme tout ce qui est absurde.
Qu'on ne se méprennent pas sur mes propos : Les enfants d'Israël et de Palestine meurent...soit. Mais ne pourraient-ils pas le faire en dehors des heures de repas ? N'est-ce pas la moindre des politesses ? Messieurs les militaires, je vous demande solennellement de ne plus faire feu après le service des hors d'œuvres. D'avance, merci.

Une fois posées cette requête, mes propositions sont de deux types :

1- Lutte psychologique contre le conflit.
2- Mise au point d'une stratégie sur la pragmatique géographique.


1- Lutte psychologique contre le conflit.

Dans le principe, c'est assez simple : Dès qu'il est fait mention du conflit dans un média, quel qu'il soit, on élude. Fermez vos journaux, éteignez vos télés et vos postes à transistor (c'est mon côté vieille France), et répétez en boucle : "Le conflit Israëlo-Palestinien n'existe pas, le conflit Israëlo-Palestinien n'existe pas, ...".
Certaines mauvaises langues objecteront que c'est exactement la même méthode qui fut employées par la plupart des dirigeants Européens jusqu'à maintenant et sans succès... Si vous avez autre chose à proposer, ne vous gênez pas.



2- Mise au point d'une stratégie sur la pragmatique géographique.

Un peu plus compliqué dans la mise en œuvre, mais bigrement efficace, à mon avis. Il s'agit de redéfinir l'espace territorial. Non, je ne vous parle pas des frontières de Gaza, mais du mur des lamentations, qui devrait, selon moi, être démonté et déplacé en Bavière, voire, à Berlin. Pourquoi ? Tout simplement pour permettre aux Juifs Européens de se lamenter en paix sans risquer de se prendre une grenade sur la tronche, d'une part. D'autre part, menacer les autorités Israéliennes et Palestiniennes de ne leur rendre leur mur qu'une fois le conflit enterré.
Il me semble qu'un territoire germanophone serait le bienvenu pour accueillir le mur des sons (c'est bruyant les lamentations) dans la mesure où c'est quand même eux qui ont commencé (et toc !), et puis question "mur", ils ont le bénéfice de l'expérience.

Notes :
-Penser à appeler Angela Merkel pour lui demander son avis sur la question.
- Prendre contact avec Benyamin Netanyahou pour lui dire de cesser ses enfantillages.

En voiture Shimon

3 commentaires:

Roberto a dit…

Faudra penser à souhaiter sa fête à Denise, parce que c'est aujourd'hui.
Une bise à la Denise, donc.

Les Désoeuvrés a dit…

J'embrasserai Denise de bon cœur, mais elle pique un peu...

Zhang a dit…

Mh, après soixante piges de conflit, en effet, cette méthode pourrait être plus efficace qu'une négociation foireuse ou un attentat à la con.

Il faut réellement repenser le boulot de diplomate, et c'est la bonne voie.